World Export


Capitale: Alger
Population:
35,7 Millions d'habitants (janvier 2010)
Villes principales:
Alger, Oran, Constantine, Annaba, Bejaïa, Sétif, Bordj-Bou-Arreridj, Tlemcen, Tizi-Ouzou, Ghardaïa, El-Oued, Blida.
Monnaie: dinar algérien
Langue officielle:
Arabe, tamazight.

1 EURO=?
1 CHF=?
1 USD=?

Langue des affaires: Arabe,
français et anglais

Week end:
vendredi et samedi
Indicatif téléphonique: +213.
Fuseau horaire: GMT+1.



L’Algérie, avec ses 35 millions d'habitants et sa croissance économique soutenue, bénéficie d'une situation macro-économique assainie et s'est imposée ces dernières années en basant son développement sur le secteur pétrolier et ses importantes richesses naturelles (gaz, minerais, …). Le pays a ainsi pu se constituer une importante réserve de change et effectuer un remboursement anticipé de sa dette extérieure ramenée à moins de 500 millions de dollars US à la fin 2009.

Les profondes mutations structurelles opérées depuis l'ouverture de l'Algérie à l'économie de marché dans les années 90 ont marqué le début du développement du commerce extérieur et des investissements directs étrangers.

Malgré la forte croissance des secteurs autres que celui des hydrocarbures (construction, eau, agro-alimentaire, …) ainsi qu’une forte demande intérieure, la croissance du secteur industriel demeure faible (inférieure à 1%).




Un pays émergent dont plus des 2/3 de la population a moins de 35 ans.

- Un programme d'investissement public 2010-2014 de plus de 286 milliards de dollars, dont 130 milliards pour le parachèvement des projets entamés (rail, eau, infrastructures aéroportuaires, routes, etc.) et 156 milliards pour de nouveaux projets (développement industriel et mise à niveau des PME, réalisation de nouvelles zones industrielles), réalisation de nouvelles centrales électriques et modernisation des entreprises publiques, santé, éducation et services publics.

- Réserves épargnées dans le Fonds de Régulation des Recettes (plus de 43 milliards d'euros).

- Un nouveau code des marches publiques depuis fin 2010.

-Une part de plus en plus importante accordée aux PME/PMI, vecteur de croissance régionale et locale.

- L'un des plus importants potentiels en terme de croissance pour le développement et l'exploitation des énergies renouvelables.

-Mesures encourageant les exportations hors hydrocarbures (fiscalité, prise en charge des dépenses liées à la prospection, aux expositions à l’étranger…).

-De nombreuses success stories dans divers domaines, routes, rail, énergies, formation, agro-alimentaire, tourisme, Télécom, stations de dessalement, …

-Marché porteurs pour quasiment tous les secteurs d'activités, notamment : agro-alimentaire, pétrochimie, tourisme, formation, transport, secteur financier, eau, environnement (gestion de l'eau et des déchets).

- D' importants besoins en équipement et formation dans de nombreux domaines : BTP, agro-alimentaire, agriculture, pétrochimie, tourisme.



-Économie encore très dépendante des revenus pétroliers malgré les efforts pour doper les exportations hors hydrocarbures.

-De nouvelles mesures strictes à l'égard des investissements étrangers (IDE) altérant légèrement les capacités de développement et d'investissement et l'attractivité du marché.

-Faible réactivité du système bancaire malgré d'importantes avancées.

-Encore quelques difficulté d’accès au foncier industriel malgré les nombreux efforts de l'ANIREF et des institutions concernés.

-Une part encore non négligeable de produits de contrefaçon et de l'informel malgré des règles stricts concernant les modalités d'importation.

Ces derniers points ne doivent cependant pas occulter les efforts fournis par les différentes autorités et organismes concernés. Comme tous changements économiques et administratifs profonds, les résultats commenceront à être visible après plusieurs mois voire plusieurs années dans certains domaines.